Créée en 1982 à Villeurbanne par Philip Nelson, la galerie a présenté dès les débuts des artistes encore inconnus en France, en particulier les artistes de la jeune génération allemande. On a alors pu voir pour la première fois en France les expositions d’artistes tels que Harald Klingelhöller, Thomas Ruff ou encore Thomas Schütte. De par ses origines américaines, Philip Nelson avait également des connexions avec des artistes américains comme James Welling ou canadiens comme Ken Lum.
En 1993, la Galerie Nelson déménage à Paris, rue Quincampoix. Elle décide alors de représenter de nouveaux artistes, français en particulier et commence dès 1995 à travailler avec Anne-Marie Schneider puis plus tard Didier Courbot et Guillaume Paris.
En 2004, la galerie déménage au 59 de la rue Quincampoix dans un espace plus grand, avec verrière, afin de présenter au mieux le travail des artistes déjà établis comme Pedro Cabrita Reis, qu’elle représente, mais aussi de développer de nouvelles collaborations artistiques avec de plus jeunes artistes comme Helen Mirra.
Cette exposition se propose donc de montrer un ensemble d’œuvres « historiques » d’artistes du programme actuel de la galerie, comme Thomas Ruff, Thomas Schütte, Harald Klingelhöller, Ken Lum, Helmut Dorner, Mitja Tusek, Matt Mullican, Pia Fries… mais également de présenter de nouveaux travaux réalisés spécifiquement pour cette exposition, comme dans l’escalier « Untitled (flat) space » d’Ernst Caramelle faisant le lien entre les deux étages. Egalement présentée, la pièce « Herzbergwerk » de Thomas Schütte, nouvelle version de la série des « bunkers » du début des années 80 accompagnée de dessins prêtés par le Musée d’Art Contemporain de Lyon.
Au rez-de-chaussée, en entrant, l’imposante pièce « Wie Weiss Die Wände Waren Und Wie Vergessenes Sich Ändern Wird » ("Comme les murs étaient blancs et comme l'oublié se transformera"), de l’artiste Harald Klingelhöller, nous saisit d’emblée par sa présence et nous plonge dans une réflexion sur le langage, le temps et l’espace. Cette œuvre sera également présentée cette année au Musée de Serralves à Porto.
Suite à la disparition de Philip Nelson en avril dernier, la galerie entame un partenariat avec le marchand d’art américain Peter Freeman et sera amenée à enrichir son programme avec de nouveaux artistes tel que Mel Bochner, dont la galerie présentera le travail en mars – avril prochain.
Cette exposition des 25 ans de la galerie, en forme d’hommage au travail réalisé par Philip Nelson, se veut résolument tournée vers l’avenir afin de montrer comment la galerie souhaite poursuivre cet héritage.
En 1993, la Galerie Nelson déménage à Paris, rue Quincampoix. Elle décide alors de représenter de nouveaux artistes, français en particulier et commence dès 1995 à travailler avec Anne-Marie Schneider puis plus tard Didier Courbot et Guillaume Paris.
En 2004, la galerie déménage au 59 de la rue Quincampoix dans un espace plus grand, avec verrière, afin de présenter au mieux le travail des artistes déjà établis comme Pedro Cabrita Reis, qu’elle représente, mais aussi de développer de nouvelles collaborations artistiques avec de plus jeunes artistes comme Helen Mirra.
Cette exposition se propose donc de montrer un ensemble d’œuvres « historiques » d’artistes du programme actuel de la galerie, comme Thomas Ruff, Thomas Schütte, Harald Klingelhöller, Ken Lum, Helmut Dorner, Mitja Tusek, Matt Mullican, Pia Fries… mais également de présenter de nouveaux travaux réalisés spécifiquement pour cette exposition, comme dans l’escalier « Untitled (flat) space » d’Ernst Caramelle faisant le lien entre les deux étages. Egalement présentée, la pièce « Herzbergwerk » de Thomas Schütte, nouvelle version de la série des « bunkers » du début des années 80 accompagnée de dessins prêtés par le Musée d’Art Contemporain de Lyon.
Au rez-de-chaussée, en entrant, l’imposante pièce « Wie Weiss Die Wände Waren Und Wie Vergessenes Sich Ändern Wird » ("Comme les murs étaient blancs et comme l'oublié se transformera"), de l’artiste Harald Klingelhöller, nous saisit d’emblée par sa présence et nous plonge dans une réflexion sur le langage, le temps et l’espace. Cette œuvre sera également présentée cette année au Musée de Serralves à Porto.
Suite à la disparition de Philip Nelson en avril dernier, la galerie entame un partenariat avec le marchand d’art américain Peter Freeman et sera amenée à enrichir son programme avec de nouveaux artistes tel que Mel Bochner, dont la galerie présentera le travail en mars – avril prochain.
Cette exposition des 25 ans de la galerie, en forme d’hommage au travail réalisé par Philip Nelson, se veut résolument tournée vers l’avenir afin de montrer comment la galerie souhaite poursuivre cet héritage.